La force de l’équipe Génus réside précisément dans la diversité de leurs expériences professionnelle. La connaissance des vulnérabilités humaines, acquise dans des environnements hostiles et des temporalités contraintes nous permets de vous proposer un accompagnement adapté dans toutes les phases de la vie de votre entreprise.
Si les problématiques organisationnelles sont propres à chaque entreprise, nous comprenons les enjeux qu’elles sous-tendent en fonction des secteurs d’activités concernés.
Les compétences techniques et analytiques sont désormais mises en miroir des compétences comportementales - soft skills - qui prennent une importance croissante au sein de la filière logistique. La maîtrise de ces compétences s’adressent d’abord aux salariés qui occupent des postes de management. Dans une économie sujette à la récurrence des crises, il s’agit désormais de savoir faire preuve de réactivité et de sang-froid lors de la mise sous pression de la structure, de se montrer agile face à la nécessité des changements, ou encore de réussir а fédérer l’ensemble des compétences des équipes pour atteindre les objectifs prédéfinis.
Les années 2018 et 2019 ont particulièrement dynamiques pour l’industrie automobile. Du fait des ruptures qui affectent notamment la fourniture des composants électroniques de pointe, le secteur est aujourd’hui l’un des plus touchées par la crise du Covid-19. En conséquence, de nombreux sites se sont retrouvés en activité partielle voire fermés. Dans l’attente d’une sortie de crise, il apparaît nécessaire d’anticiper la remobilisation les collaborateurs et des dirigeants afin de réussir la relance des activités de production. Ce sursaut d’activité peut impacter le moral des collaborateurs. Un accompagnement vers ce retour à une pleine activité apparaît nécessaire.
Tout comme pour le secteur automobile, la COVID-19 ont eu pour conséquence la baisse de la production et la réduction - voire l’annulation - de certaines commandes dans le secteur de l’aéronautique civile. Aujourd’hui, de nombreuses interrogations pèsent quant à la pérennité de l'emploi au sein de cette filière d’excellence française tant sur les actvités de conception que de production. A moyen terme, il apparaît donc nécessaire pour les entreprises du secteur de développer de nouvelles compétences pour leurs équipes.
Si le secteur de l’industrie de défense est en apparence moins impacté, la volonté des pays émergents de disposer de bases industrielles et technologiques de défense souveraine confronte les champions du secteur à la problématique des transferts de technologie et au risque de perte de compétences. Ce «game-changer» est de nature a impacter la structure même des entreprises du secteur.
L’automatisation s’invite dans les activités extractives, dans un secteur traditionnellement dominé par des activités humaines répétitives. L’utilisation de matériel autonome - drones terrestres - va réduire de façon significative l’intensité du travail dévolu à l’homme et contribuer à améliorer la sécurité. Ainsi, la nature même du travail sera appelée à changer depuis les sites miniers jusqu’au sein même des services administratifs. Cette transformation doit être préparée depuis la reconversion des employés les moins qualifiés jusqu’à la prise en compte de cette nouvel équilibre entre l’homme et la machine dans un espace ou le risque de déshumaniser le travail est réel
Mazars, partenaire de la Transformation du secteur de la santé, a réalisé une enquête auprès des responsables administratifs et médicaux d’établissements de santé publics afin de comprendre leur vision et sonder leurs opinions quant aux choix à réaliser, leviers à activer et innovations à implémenter.
• 88 % des répondants priorisent la réalisation des investissements sur les Ressources Humaines
• 2/3 des répondants déclarent prévoir de mettre en œuvre / ont mis en œuvre des actions visant à améliorer l’attractivité et la fidélisation des professionnels hospitaliers.
• 75% des répondants plébiscitent un management participatif et collégial.
• 53% ont lancé une démarche Expérience patient ou comptent le faire dans les 6 mois.
« L’humain, professionnel comme patient, détient les clés de la transformation de l’hôpital pour redonner du sens au soin et créer une nouvelle relation patient/soignant », explique William Bottaro, associé Conseil Santé chez Mazars.
La banque sera-t-elle la sidérurgie du XXIe siècle? La question est souvent posée aux spécialistes du secteur, qui voient lentement mais sûrement les effectifs s'éroder en France. Le déclin est régulier. Et il y a peu de chances que les effectifs repartent à la hausse. La crise financière a laissé des traces, la digitalisation et la robotisation n'ont pas fini d'imprimer les leurs. Reste qu’adapter les compétences coûte souvent moins cher que d'en recruter de nouvelles.
Les assureurs considèrent souvent que leur seule véritable richesse, c’est leur capital humain. Ceci était vrai hier, l’est aujourd’hui et le restera demain. Attirer ces talents est un véritable challenge pour les mêmes raisons que celles citées ci dessus. La compétition pour ces ressources rares est féroce et elles peuvent être rebutées par l’image dépassée et les perceptions de lourdeurs qui restent attachées aux compagnies traditionnelles.
La pandémie de Covid-19 a mis les systèmes éducatifs dans une situation inédite. À l’apogée de la pandémie, 190 pays ont fermé leurs écoles, touchant 1,5 milliard d’élèves, soit 90 % de la population étudiante mondiale. Presque sans avertissement, les gouvernements et les institutions privées ont dû passer des cours présentiels aux cours en ligne, transformant ainsi le modèle éducatif et la relation entre la technologie et l’apprentissage. Pour faire face à ces défis, les équipes pédagogiques ont du s’adapter dans l’urgence. Genus peut vous accompagner dans l’optimisation des processus, des méthodes et la définition d’un objectif rationnel et atteignable.
C'est un point de vue assez peu banal, dans une crise pourtant commentée de toutes parts: le problème des médias "traditionnels" n'est pas le manque de talents digitaux, ni même les lacunes des grands groupes en termes d'innovations. Dans le Nieman Journalism Lab d'Harvard, Matt DeRienzo, lui-même journaliste, avance que le principal problème que connaissent les entreprises de presse est... une mauvaise gestion des ressources humaines !
En ces temps de crise, l’industrie de la distribution alimentaire est considérée comme clé au niveau national, n’ayant cessé de fonctionner lors du confinement. Par conséquent, les salariés de ce secteur sont reconnus comme indispensables et ont continué d’exercer leur activité dans un environnement à risque, à l’instar des personnels soignants. Pour autant, ces salariés se sont retrouvés en première ligne face au virus et au risque de contamination.
Les enseignes du secteur ont su faire preuve d’agilité pour garantir une protection de leurs collaborateurs, de leurs clients, tout en maintenant leurs services habituels. La crise a ainsi montré leur forte capacité d’adaptation et de transformation. Il convient de conserver le bénéfice de ces mesures, et ainsi anticiper leurs impacts sur le futur du travail.
La force de l’équipe Génus réside précisément dans la diversité de leurs expériences professionnelle. La connaissance des vulnérabilités humaines, acquise dans des environnements hostiles et des temporalités contraintes nous permets de vous proposer un accompagnement adapté dans toutes les phases de la vie de votre entreprise.
Les collaborateurs RH doivent être impliqués dans le projet de fusion-acquisition en amont de la transaction afin de fournir un certain nombre de données clés mais aussi réfléchir aux différentes mesures à venir. Suite à la finalisation de la transaction, il s’agit pour eux d’accompagner le processus d’intégration.
De plus, les collaborateurs sont souvent au cœur des fusions-acquisitions, et sollicitent davantage les RH. C'est pourquoi, ce service doit être impliqué tout au long de la transaction.
Le capital humain peut constituer un précieux facteur de différenciation de la société émettrice, par rapport à d'autres investissements, mais aussi vis-à-vis de ses propres concurrents, cotés ou non. A contrario, ne pas apprécier à sa juste valeur le facteur humain dans l'argumentaire de "vente" de l'opération d'IPO pourrait être perçu, au mieux, comme l'oubli regrettable d'un élément d'éclairage important et, au pire, comme un manque de considération ou de confiance des dirigeants et/ou actionnaires quant à l'importance des RH dans la performance à long terme de l'entreprise.
Pour la plupart des directions comme des encadrants, conduire le changement se résume à mettre en œuvre l’objet de la transformation : réduire l’équipe, déménager, installer un nouveau processus ou supprimer un ancien matériel. Cette façon de voir et de faire n’est pas sans conséquences funestes pour l’entreprise : perte du sentiment d’utilité et démotivation des collaborateurs, baisse du sentiment d’appartenance à l’entreprise et aux équipes, de l’engagement et de la performance, érosion de la légitimité managériale et apparition de difficultés pour animer les équipes, en proie au doute.
Le monde de l'entreprise aujourd'hui est un monde où plusieurs générations sont amenées à travailler ensemble et pour la première fois, des salariés issus de la génération X se retrouvent avec les plus jeunes qui font partie de la fin de la génération Y, voire de la génération Z.
Pour les plus jeunes, la digitalisation n'amène aucune surprise. En effet, ils ont grandi avec internet et avec les transformations sociétales que cela a amenées au fil du temps. Même si ce n'est pas toujours le cas, ce sont souvent les plus âgés qui sont réfractaires à la digitalisation dans leur entreprise, car ils n'en voient pas l'intérêt. Ce sont aujourd'hui près de 40 % des entreprises qui rencontrent des résistances face à ces nouveautés en interne.
L’intelligence économique est une démarche, un état d’esprit qui concerne tous les acteurs de l’économie. Trop souvent associée aux grands groupes, elle concerne toute personne à la tête d’une organisation publique ou privée, tout dirigeant d’entreprise, d’organisme de recherche, d’administration, quelles que soient leur taille et la nature de leur activité. Plus largement, la mise en place réussie d’une démarche d’IE au sein d’une entreprise nécessite l’implication et la sensibilisation de l’ensemble des acteurs de l’entreprise.
L’intelligence économique est aussi une organisation, qui consiste avant tout à mettre en place des méthodes et des outils. À ceux-ci s’ajoutent des compétences pour collecter l’information, l’analyser et la transformer en connaissance qui sera diffusée aux bons acteurs, sans omettre de la sécuriser. Enfin, les entreprises sont obligées de revoir leur approche de l’information : il faut à la fois organiser le partage de l’information afin de la capitaliser en interne, tout en la protégeant des appropriations malveillantes.
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